Se plaindre rendrait vraiment malade selon une étude

Dites-le avec une lettre

Il y a des choses qu'on aimerait pouvoir écrire... Mais on ne sait pas toujours par où commencer, comment trouver les bons mots, véhiculer la bonne intention. Aujourd'hui, on vous aide à vous lancer et envoyer la lettre parfaite:

« Oh non mon train a encore du retard » « Je ne me sens pas bien aujourd »hui » « Je n’ai pas dormi de la nuit » « Qu’est-ce que c’est cher ! » « Il n’y a jamais ce que je cherche » (…) Je pourrais continuer encore longtemps la liste de plaintes. Ne nous mentons pas, nous nous plaignons tous et toutes et ce, quotidiennement. A priori, on se dit que c’est une façon de décharger notre frustration, de bannir le stress. Mais non. Pas du tout. Bien au contraire ! En fait, se plaindre rendrait vraiment malade !

D’après une étude se plaindre rendrait vraiment malade

Les travaux du psychiatre américain Steven Parton cités par le site d’information Inc et publiés dans la revue de psychologie Psychpedia montrent que nous avons tout à perdre à nous plaindre constamment. Je suis moi-même en train de suivre un programme pour « reformater mon cerveau ». Programme incroyablement bénéfique mais aussi très fatiguant car, quand on a l’habitude de penser négatif, transformer nos pensées n’est pas chose aisée. Mais néanmoins tout à fait possible ! Je vous en parlerai prochainement quand j’aurais plus avancé.

Steven Parton explique que lorsque l’on pense souvent à quelque chose, on y revient de plus en plus fréquemment. Notre cerveau enregistre cette pensée, cette idée et y revient sans cesse. Ce fonctionnement s’explique par les connexions entre les synapses :  « Quand vous avez une pensée, une synapse crée un pont jusqu’à une autre et lui envoie un signal électrique. Ce dernier transporte et transmet l’information à laquelle vous pensez« , explique Steven Parton.

Du coup, plus les connexions se font, plus les synapses se rapprochent et moins le trajet est long. Ce qui explique que nous sommes parfois littéralement hanté.es par des pensées qui sont, bien souvent, négatives.

Penser positif pour être heureux

Ben oui, l’un ne va pas sans l’autre. Vous pourriez me dire : « Ok mais moi je pense positif quand je suis heureux justement« . Ça, c’est ce que se dit la plupart des gens. Et ils ont tort. J’ai moi-même longtemps pensé ainsi, jusqu’à ce que j’entame un travail sur moi. Aujourd’hui, j’arrive de mieux en mieux à penser de façon positive, même si le contexte est sombre d’ailleurs.

L’étude prouve que plus on plaint, plus on libère du cortisol qui est l’hormone du stress. Cela affaiblit notre système immunitaire et augmente les risques de crise cardiaque, de diabète et même, d’obésité.  « Peu de gens le savent mais le stress est l’un des plus grands maux que peut subir l’organisme. Il possède une énorme influence sur ce dernier, et elle est très rarement positive, pour ne pas dire jamais« , explique le psychiatre.

Quand on sait en plus que la personne moyenne se plaint environ une fois par minute ! Quel enfer !

La loi de l’attraction

Avez-vous déjà entendu parler de la loi de l’attraction ? Non ?! Alors vous devez y remédier. La loi de l’attraction c’est partir du principe que tout ce qui vous arrive dans la vie, c’est vous qui l’attirez. Nous devenons ce à quoi nous pensons, tout comme nous attirons ce à quoi nous pensons.

Pensez-y ! Créez-vous des images positives, transformez vos pensées négatives en positif. Ecrivez-les sur un papier, les affirmations positives marchent bien plus que vous ne pouvez l’imaginer !

Eloignez-vous des personnes qui se plaignent

Si se plaindre rend malade, écouter quelqu’un se plaindre affecterait tout autant. Alors fuyez les personnes négatives. Nous avons tous un CHOIX à faire et j’insiste sur le CHOIX. Je suis une méthode comme je vous le disais, depuis maintenant deux mois, qui m’a appris à retirer des phobies. Oui, des phobies, donc des peurs irrationnelles qui m’empêchaient littéralement de FAIRE des choses voire même parfois, de vivre normalement. Et c’est le jeune homme qui a créé le programme qui m’a appris qu’on avait toujours le CHOIX. Le choix d’avoir de laisser la peur nous envahir, le choix d’être heureux, le choix de voir le verre à moitié vide ou à moitié plein…

Par exemple, vous cassez un verre. Allez-vous râler ou vous plaindre ? Ou simplement le ramasser et ne plus en parler ? Personnellement, je ne perds JAMAIS de temps avec des choses aussi futiles ! Ne vous bousillez pas le moral pour des petits tracas quotidiens, ça n’en vaut vraiment pas le coup.

Alors souriez et arrêtez de vous plaindre pour un oui ou pour un non, vous êtes vivant.e 😉

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