Lettre d’amour d’une femme à son amant

J’ai voulu vous écrire un modèle de lettre d’amour d’une femme à son amant car je sais que beaucoup d’entre vous sont dans cette situation. Je sais à quel point c’est difficile pour beaucoup, surtout quand l’amant promet des choses qu’il ne fait jamais. Mais … Lire la suite

Rencontre avec Olivia Ruiz : « Pour moi l’amour, c’est forcément quelque chose d’intense »

©Christophe Acker
©Christophe Acker

On a eu la chance de rencontré la jolie Olivia Ruiz mardi 16 novembre, deux jours avant la sortie officielle de son nouvel album « A nos corps-aimants ». Olivia est exactement comme je l’imaginais ; douce et accueillante, un timbre de voix exquis, des yeux pétillants et une vision du monde et des femmes qu’on ne peut qu’apprécier ici, sur Parler d’Amour.

Cette jeune maman et chanteuse talentueuse nous accueille donc rue dans un café près de Montmartre :

Je finis la journée avec vous les filles ! Enfin non, il y a un bébé dont il faut s’occuper (sourire), à 21h30 elle sera vraiment finie !

A nos corps aimants est ton cinquième album, d’où te vient toute cette inspiration ?

Pfiou alors là je ne sais pas. C’est vrai qu’avec le recul, moi j’écris d’une façon très instinctive. Je ne me dis pas « tiens, je vais écrire sur ce sujet ». Je vais jeter quelques phrases et puis ensuite je vais me dire « tiens, j’ai posé ce sujet, je pourrais l’emmener un peu plus là, un peu plus là ». J’ai souvent la peur de la feuille blanche. On sort un album, on part deux ans en tournée et au bout de deux ans de tournée, on est là…il faut s’y remettre. Et moi j’ai un peu peur de ce vertige-la donc j’écris tout le temps et comme ça, dès que la tournée s’arrête, j’ai plus qu’à regarder ce que j’ai écrit pendant tout ce temps et à sélectionner, à creuser.

C’est toi qui composes les musiques ?

Ca dépend des morceaux. Mon corps mon amour, c’est moi qui ai fait la musique, Tokyio eyes j’ai fait la musique avec Edith Fambuena, la productrice. Ame en dentelles, nos corps-aimants ce sont des chansons que j’ai faites toute seule, Dis-moi ton secret j’ai fait la musique avec mon papa…

En l’occurrence, pour ce disque-la, je pense que j’ai été inspirée par plein de femmes, ça va de sculptrice à peintre, en passant par mes potes, jusqu’à maman. Mon petit frère, Toan, qui est rappeur avait fait une chanson  que j’aimais beaucoup sur son album. Il est psychologue donc c’est un rap particulier. Il disait : « Les plus belles du monde ne sont pas dans les magazines, c’est dans l’ombre d’une pendule que leurs sourires se dessinent, à l’image de ces collines marquées par l’érosion, leur majesté sublime le cycle des saisons ». Et c’est vrai que j’y pensais beaucoup à cette chanson. Et puis moi j’étais en train de vivre une métamorphose donc tout d’un coup, toutes les femmes en moi étaient un peu perdues.

Dans cet album, il y a un peu toutes les femmes que j’aime ou que j’admire, ou celles qui m’agacent ou que je n’arrive pas à comprendre. Finalement c’est un peu toutes ces chansons qui me le racontent quand elles sont toutes là pour un album, plus que moi qui vais me dire « je vais écrire sur ça ou sur ça ».

Comment écris-tu tes chansons ?

Parfois je vais commencer par une petite mélodie ou un petit gimmick d’Ukulélé ou de piano et je vais mettre un texte dessus, avec une mélodie de voix qui me vient, comme pour Tokyo Eyes par exemple. Pour chaque chanson c’est vraiment une genèse différente.

Dans tous tes albums on retrouve pas mal de chansons qui évoquent l’amour et la sensualité. Je trouve que dans cet album c’est encore plus le cas, qu’en penses-tu ?

Je ne sais pas si on parle vraiment d’amour. J’ai l’impression que c’est plus le désir, le rapport au corps, l’impossibilité amoureuse que l’amour en lui-même. On peut le mettre dans le terme générique qu’est « l’amour » mais finalement on est quand même sur d’autres choses que l’amour. Par exemple, Nos corps aimants : je suis sûre que tu as déjà connu ça, en tous cas autour de moi, mes potes comme mes copines ont déjà vécu cette expérience d’être hyper attiré par une personne, de savoir qu’il ne faut pas y aller qu’on va être malheureux, que ça sert à rien,  qu’on va juste souffrir. Et pourtant, tout ton corps t’appelle à y aller quand même. Et c’est une drôle de sensation car tu te sens hyper vivante, tu te sens pleine quand tu  éprouve un désir aussi fort et en même temps tu souffres beaucoup aussi.

Quand j’ai commencé la chanson je parlais vraiment du lien amoureux dans ce rapport-la. Et tout d’un coup, mon p’tit gars arrive et passe son temps accroché la bouche à mon sein toute la journée et je découvre une autre façon d’avoir besoin d’un corps, besoin de ma part et de la sienne, de ce contact physique et de cette proximité. J’ai fini la chanson en la pensant plus comme une chanson qui raconterait le lien mère-fils. Il y a tout dans cette chanson : une impossibilité et à quel point le désir peut rendre un corps vivant et l’absence de désir peut le rendre mourant.

Pour toi, qu’est-ce que l’amour ?

Pour moi l’amour c’est forcément quelque chose d’intense. Que ce soit l’amour filial, l’amour au sens sensuel du terme, pour moi il y a quelque chose de déraisonné, qui est tout-puissant. Pas forcément absolu mais qui te dépasse.

Dans tes chansons on retrouve pas mal d’alternance entre des mélodies très douces et des mélodies très endiablées voire mutines. Comment expliques-tu ces deux côtés ?

C’est moi. Tous mes disques sont comme ça. Je m’ennuie très vite, du coup, j’ai besoin de faire des choses très contrastées, très explosives, très introspectives. Sinon je m’ennuie à les faire, à les chanter, à les écouter. Je crois que c’est pour échapper à l’ennui, j’aime être surprise dans la vie. Je déteste la routine, je déteste les choses attendues et j’aime du coup que ça se passe aussi dans mes chansons. Comme le « Je baise donc je suis », c’est vraiment pour moi ce que raconte le personnage. On entend une femme qui supplie son homme de s’intéresser à nouveau à elle, qui lui explique qu’elle est en train de se perdre dans ce non désir parce qu’il lui manque une partie d’elle-même finalement, cette âme ne peut pas évoluer sans un corps en vie. Et lui faire dire « je baise donc je suis » pour moi, tout d’un coup, ça déplaçait totalement le sujet : ce n’est pas juste une victime. On est toujours dans les clichés de « c’est l’homme qui a envie de baiser et à qui sa femme dit non car elle a mal à la tête. Bah non, ce n’est pas comme ça, on est égaux, pas sur les salaires (rire) mais sur les besoins aussi. C’était une façon de raconter que ce personnage n’était pas juste une victime mais aussi une féministe.

Parle-moi de ta chanson Nino mi niño

C’est une chanson que j’ai improvisée pour mon fils Nino et quand je la chantais en studio, tout le monde me disait « c’est génial ça, faut la mettre dans l’album ». Moi, comme j’avais été très très embêtée par les paparazzis tout au long de ma grossesse qui sont allés jusqu’à annoncer l’endroit où j’allais accoucher alors que j’ai déjà eu quelques fois des fans assez bizarres, contre qui j’ai dû poser des mains courantes… Ca m’a vraiment gâché une partie de cette extraordinaire aventure. Donc je ne voulais pas mettre cette chanson, je ne voulais pas que les gens sachent que c’était mon bébé, quel était son nom et puis, toute mon équipe en studio m’a dit « tout le monde adore ce morceau, est-ce que ça va vraiment changer quelque chose de la mettre, est-ce que tu te sens plus fragile juste parce que tu dis son nom ? On n’en sait pas plus sur ton bébé ». Et je me suis dit, « allez, on la met ».

On entend pas mal d’inspirations notamment cubaines dans ton album, est-ce dû à tous les voyages que tu as fait ces quatre dernières années ?

Je me suis beaucoup nourrie de cumbia colombienne et j’ai amené pas mal de morceaux dans ce sens-la. Parce que c’est une musique qui est très immédiate et qu’elle se mélangeait bien avec l’univers que j’avais déjà développé jusque-là. Et Edith Fambuena, la productrice, est très friande de ce genre de musique !

Parle-moi de Volver

Je faisais un projet avec Jean-Claude Gallotta et il là, il me fait danser. Et j’adore ça. Mais je me suis dit c’est un ponte de la danse contemporaine, il a autre chose qu’aller faire danser une petite chanteuse.  Je ne me lance pas pour lui dire que j’ai envie de refaire quelque chose ensemble.

Et quelques mois plus tard il vient me voir en concert et puis, comme on est là, il prend un stylo et il me dit « Regarde, si on met cette chanson, cette chanson, on ferait pas une comédie musicale ? ». Et paf, c’était parti. Très vite on se dit qu’il faut que je danse en chantant. Je dis oui tout de suite sans mesurer le challenge qu’il faut relever. Il me donne une liste de chansons qu’il a chorégraphiées. Dès que je vois ses chorégraphies, elles sont tellement inspirantes, que ça me donne plein d’idées pour moi, en faire l’histoire que j’ai envie de raconter, même si lui il a jeté une base d’histoire d’une fille qui a envie de réussir, qui monte à Paris. Je lui ai dit que je voulais les rennes de l’écriture car c’est tellement un défi important à relever qu’il faut que ce qu’on raconte soit dans ma chair.

Et donc dans l’histoire je mets un petit peu de l’histoire de ma grand-tante, de l’histoire de mes grands-mères, beaucoup de celle de mon grand-père, de tous les gens qui ont vécu le traumatisme de l’exil et on en fait une fiction. A l’intérieur de tout ça, on intègre une rencontre amoureuse, moi je suis en train de vivre ma grossesse donc évidemment je la fais tomber enceinte à un moment donné.

On est sur 1h30 avec mes musiciens, mes techniciens et 9 danseurs de la compagnie de Jean-Claude Gallotta. C’est ma voix off qui raconte. Il y a très peu de décor, un peu de projection. C’est peut-être plus une néo comédie musicale, on est dans quelque chose de très abstrait, très contemporain.

Le succès que l’on a eu a prouvé que ma peur n’était pas très justifiée.

Et sinon, qu’aimes-tu écouter comme musique ?

J’adore la cumbia, plutôt traditionnelle. J’ai beaucoup aimé l’album de Feu ! Chatternon. Il y a un duo un peu électro que j’ai découvert récemment Polo&Pan. Les artistes dont j’attends tout le temps les sorties avec impatience et dont je vais acheter le disque, ça va être Catherine Ringer, Les têtes raides, Noir Désir mais ça n’existe plus…Il y a des nanas dont j’adore la plume comme La Grande Sophie. Sinon j’écoute pas mal de musiques anglo-saxonnes.

Tu as la double nationalité, tu parles espagnol à Nino ?

C’est vrai que je lui parlais beaucoup en espagnol et là je commence à me dire qu’il va falloir que je reparle avec des adultes avant. Car ça fait deux ans que je n’ai pas pratiqué et ça se perd très vite, même si ça se retrouve très vite aussi. J’ai vraiment envie de me remettre dedans, de l’imprégner de cette culture comme mes grands-mères l’ont fait avec moi. Je me sens vraiment porteuse d’un devoir de mémoire par rapport à toutes ces souffrances que eux ont endurées pour nous faire une vie belle à nous, leur descendance.

Dans Volver j’ai voulu dire tout ça « regardez, il y a des gens qui se sont construits tout de travers et qui ont souffert toute leur vie parce qu’on ne les a pas accueillis au moment où ils demandaient juste à ne pas mourir. Vous avez-vu, en ce moment, on refait exactement pareil alors que des dizaines de sociologues, de psychologues ont écrit sur cet état e fait. Un migrant est déjà quelqu’un qui souffre puisqu’il quitte quelque chose qui est de l’ordre de sa construction intime et souvent sa famille qui va avec et si en plus on n’a même pas cette capacité de les accueillir convenablement…On fera encore des adultes qui auront du mal à avancer alors qu’on a ce pouvoir de dire juste « sens-toi chez toi ici parce que chez moi c’est chez toi ».C’est un peu ainsi que termine Volver.

Avez-vous lu la délicatesse du homard de Laura Manel ?

La délicatesse du homard par Laure Manel La délicatesse du homard est le premier roman publié de Laure Manel. Sorti en auto-édition, ce roman a connu un véritable succès. Résumé de La délicatesse du homard François, directeur d’un centre équestre en Bretagne, découvre, lors d’une promenade … Lire la suite

Les 5 signes astrologiques les moins disponibles émotionnellement

Bien qu’il y ait évidemment de nombreux facteurs en jeu lorsqu’il s’agit de savoir comment être plus ou moins disponible émotionnellement, votre signe du zodiaque – et tous ses traits inhérents – pourrait avoir plus de conséquence sur ce phénomène que vous ne le pensez. « Certains signes sont câblés pour être plus indépendants, détachés des émotions ou libres d’esprit« , explique l’astrologue professionnelle Rachel Lang à Bustle. En d’autres termes, les traits de personnalité communs à votre signe peuvent jouer un rôle dans la raison pour laquelle vous luttez pour vous ouvrir. Ou, tout du moins, pourquoi vous pourriez avoir l’impression d’avoir des priorités différentes.

Si votre signe astrologique est un signe qui penche plus vers l’indépendance, par exemple, il peut ne pas être dans votre nature de mettre les connexions émotionnelles. Mais ça ne veut pas dire que vous ne le pouvez pas, si c’est quelque chose que tu aimerais faire. « Tous les signes sont capables d’attirer et de maintenir des relations merveilleuses et saines« , dit Lang. « Avec une conscience consciente, tout est possible et ils peuvent apprendre des techniques de communication pour aider leurs partenaires à se sentir vus et entendus.

Donc, si c’est quelque chose sur quoi vous aimeriez travailler, ou quelque chose qui semble vous avoir retenu dans la vie, sachez qu’il est possible de faire un changement. Si faites partie des cinq signes ci-dessous, et que vous vous sentez déconnecté.e ou incompris.e, il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire pour vous ouvrir, vous connecter et exprimer vos sentiments dans vos relations amoureuses, et au-delà.

Les 5 signes astrologiques les moins disponibles émotionnellement

Bélier (21 mars – 19 avril)

Le Bélier est souvent hyper-focalisé sur tout ce qu’il veut dans la vie. Et c’est génial en un sens ! Mais quand il s’agit d’être émotionnellement disponible dans les relations, cette mentalité peut être difficile à comprendre pour un partenaire. Et ils peuvent considérer le Bélier comme émotionnellement indisponible, en conséquence.

« Cela peut faire paraître le Bélier indifférent ou indisponible« , dit Lang. Mais, en réalité, rien n’est plus éloigné de la vérité. Le Bélier s’en soucie. Et tout ce qu’il a à faire pour montrer ses sentiments, ses émotions, est qu’il doit en être conscient et essayer de trouver un meilleur équilibre entre faire des choses pour lui-même, et de temps en temps faire des choses pour les autres.

« Le Bélier peut tirer profit du fait de réaliser que le compromis est essentiel dans les relations saines et amoureuses« , dit Lang. « Ils peuvent apprendre à adopter une approche » nous « plutôt qu’une approche » moi « , en reconnaissant que les meilleures décisions dans les relations amoureuses sont gagnantes pour tous les deux. »

Ce que les hommes aiment au lit : 7 façons de faire plaisir à un homme au lit

Maintenant que vous savez ce que les hommes n’aiment pas, nous allons nous intéresser à ce qui les faits vibrer… mais pas dans la vie de tous les jours, au lit ! Voici des petits « trucs » pour rendre votre homme fou d’excitation lors de vos rapports charnels.

Ce que les hommes aiment au lit #1 Votre investissement

Incontestablement ce qu’ils aiment le plus. Les étoiles de mer, ils préfèrent les voir sous l’eau, pas dans leur lit. Alors bougez-vous un peu, ne faites pas la paresseuse. Votre chéri adore tellement vous voir aussi excitée que lui, vous sentir vous déhancher sous lui, sur lui, devant lui. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les hommes aiment tant entendre des cris de jouissance ou même des gémissements. C’est ainsi qu’ils pensent percevoir notre degré de plaisir. Et même si ce n’est pas toujours réel (j’entends par-là que beaucoup de femmes éprouvent du plaisir sans l’exprimer de manière orale), cela les émoustille toujours.

Ce que les hommes aiment au lit #2 Votre bouche (pas sur la sienne) :p

Je ne vous apprendrais rien en vous disant que les hommes raffolent de cette pratique charnelle (vous avez compris de quoi je parle, non non et non je ne vous ferez pas un dessin). On ne vous demande pas de la pratiquer tous les jours. Mais une fois de temps en temps, pour votre chéri, ce n’est quand même pas la mort ! Bien sûr, si cela vous dégoûte, il ne sert à rien de vous forcer. Votre partenaire s’en rendra compte et ne prendra pas de plaisir. Au contraire, si cela vous plaît et qu’il le ressent, vous le ferez décoller à coup sûr !

Ce que les hommes aiment au lit #3 Etre dominés

Attention, je précise que tous les hommes n’aiment pas être dominés mais beaucoup d’entre eux prennent un plaisir fou à voir leur partenaire leur grimper dessus et prendre les devants. Et oui, prendre les devants, c’est révéler votre envie de lui, votre désir de faire l’amour. Evitez que ce soit toujours lui qui commence, toujours lui qui contrôle. Sachez lui montrer votre excitation. Par exemple, vous êtes tous deux allongés dans le lit, vous regardez un film. Vous l’embrassez langoureusement, lui montez dessus et descendez vos mains jusqu’à son outil de prédilection. Il sera fou d’envie, d’autant plus que c’est vous qui aurez lancé le mouvement.

Ce que les hommes aiment au lit #4 Entendre/voir sa partenaire prendre du plaisir

Beaucoup trop de femmes cachent leur plaisir, se contrôlent, oublient de s’abandonner par peur de paraître grossière ou par simple honte. Si vous miauler ou coasser lorsque vous atteignez l’orgasme ou si vous produisez des grimaces incroyables, tant pis ! C’est votre façon à vous d’extérioriser votre plaisir, et c’est ce qui compte pour vous comme pour votre partenaire. Quel plaisir pour votre chéri de voir qu’il vous procure tant de bien ! Vous ne vous rendez certainement pas bien compte, mais quel bonheur pour un homme que d’offrir de telles sensations grâce à leur plus grande fierté…leur organe. Alors, abandonnez-vous à lui et montrez-lui à quel point il vous fait du bien.

Ce que les hommes aiment au lit #5 Les bas et les porte-jarretelles

Aie aie aie, les bas et les hommes… une grande histoire d’Amour ! Et quand les bas sont assortis d’un porte-jarretelles… on ne peut plus les arrêter. Si votre couple a tendance à stagner au niveau de sa vie intime et charnelle, rien de tel pour relancer l’excitation et pimenter vos relations ! Bas noirs et talons suffiront amplement à rendre fou votre homme.

Ce que les hommes aiment au lit #6 Faire plaisir

Beaucoup d’hommes aiment faire plaisir. Donner plutôt que de recevoir. Certaines diront « tant mieux », d’autres auront du mal à accepter ça. La communication est votre alliée et vous devez connaître les désirs de votre ami tout comme lui se doit de connaître les vôtres.

Ce que les hommes aiment au lit #6 Qu’on les caresse

Enfin, ils aiment surtout les caresses testiculaires (je ne crois pas que ce mot existe!). C’est une partie du corps que les femmes ont tendance à négliger alors que les hommes ne jurent que par ça. Glisser vos mains sur cette partie l’excitera à la minute-même. Il s’agit de caresser doucement ou de serrer très délicatement cette partie de son corps.

Ce que les hommes aiment au lit #7 L’après

Comme les femmes, certains hommes ont besoin de se sentir aimer après l’acte charnel. Des câlins, des mots doux, de la tendresse.  D’autres aiment s’endormir juste après. Parce que, vous comprenez, ils se sont donné du mal, et sont épuisés.

Cet article existe aussi en anglais : What men like in bed : 8 things men want you to do in bed

Se plaindre rendrait vraiment malade selon une étude

« Oh non mon train a encore du retard » « Je ne me sens pas bien aujourd »hui » « Je n’ai pas dormi de la nuit » « Qu’est-ce que c’est cher ! » « Il n’y a jamais ce que je cherche » (…) Je pourrais continuer encore longtemps la liste de plaintes. … Lire la suite

9 signes qui prouvent que votre partenaire est émotionnellement abusif

Etre en couple avec une personne toxique n’a rien d’évident ! La plupart du temps, on ne s’en rend pas compte, s’enfermant dans un déni réel et profond. A tel point, que c’est nous-mêmes que nous remettons en question au lieu de notre partenaire. Les personnes toxiques sont quasiment toujours émotionnellement abusives. Voici donc 9 signes qui prouvent que votre partenaire est émotionnellement abusif.

9 signes qui prouvent que votre partenaire est émotionnellement abusif

1/ Votre partenaire contrôle tout

Il n’est pas toujours facile se rendre compte que notre partenaire contrôle tout. En effet, ils savent bien souvent déguiser leur contrôle sous de fausses préoccupations :  » Je ne veux pas que tu portes ça, sinon des mecs vont t’embêter et je veux te protéger de ça. » Toutefois, si votre partenaire, implicitement ou explicitement, tente de contrôler chacune de vos action, c’est clairement qu’il agit de manière abusive.

Si votre partenaire vous dit comment vous habiller, qu’il vous réprimande pour vos opinions, vous infantilise ou vous dit avec qui vous pouvez sortir ou non, alors tous les drapeaux rouges sont de sortie : Vous êtes en couple avec un partenaire émotionnellement abusif !

Comment détruire son couple en 4 leçons

Ce titre vous semble étrange ? Je vous explique. J’ai récemment lu Autobiographie d’un Amour d’Alexandre Jardin. Et, à un moment donné, le personnage explique en 4 points à sa femme tout ce qu’ils devraient faire pour « détruire leur couple ». Evidemment, l’idée est de faire exactement le contraire de ce qui est écrit. Et, c’est très vrai, quand on retourne les phrases dans le sens opposé, ces 4 leçons sont plus que bénéfiques pour tous les couples !

Comment détruire son couple en 4 leçons (Extrait d’Autobiographie d’un amour D’Alexandre Jardin)

Leçon N°1 : Tu tiendras l’autre comme responsable de tes propres renoncements

D’abord, si l’on veut être bien certains d’aggraver efficacement nos griefs réciproques, nous devons à tout prix continuer à tenir l’autre pour responsable de nos propres renoncements. Même s’il est évident qu’il ou elle ne nous a pas directement empêché de satisfaire une envie, il suffit de se persuader que c’est sa faute et qu’il n’y a rien, absolument rien, que nous puissions faire nous-même pour répondre à nos besoins.

Afin d’y parvenir à tous les coups, il serait judicieux d’entretenir la confusion entre nos besoin et ce qui pourrait les combler. (…)