Tu disais m’aimer mais tu me détruisais

Dites-le avec une lettre

Il y a des choses qu'on aimerait pouvoir écrire... Mais on ne sait pas toujours par où commencer, comment trouver les bons mots, véhiculer la bonne intention. Aujourd'hui, on vous aide à vous lancer et envoyer la lettre parfaite:

C’était toi, avec tes mots doux et tes promesses en l’air. « Je t’aime« , tu disais, mais chaque mot était une lame qui me coupait de l’intérieur. Tu te dressais là, roi de mon univers, avec un sourire qui cachait un monde de mensonges. Tu as pris mes rêves, mes espoirs, et tu les as piétinés, sans remords, sans regret.

Je me souviens de ces nuits, longues, sombres, où je cherchais une lueur, quelque chose de vrai dans ce que tu me disais. Mais il n’y avait rien. Rien que du vide et tes yeux qui ne voyaient pas la douleur que tu semais en moi. Tu étais mon tout, et pourtant, sous tes caresses, je n’étais rien.

Tu m’as fait croire que j’étais folle, que mes larmes étaient sans raison. Tu jouais le jeu, le rôle de l’amoureux parfait, mais sous ton masque, il n’y avait que froideur et calcul. Chaque mot d’amour était un piège, chaque baiser un mensonge. Et moi, j’ai cru, j’ai espéré, jusqu’à ce que je me perde complètement.

Mais même au fond de ce puits sans fond, j’ai trouvé un reste de moi.

Un bout de courage, un fragment de fierté. J’ai commencé à voir clair dans ton jeu, à reconnaître le poison dans tes mots doux. J’ai compris que pour vivre, il fallait que je m’échappe, que je me sauve de toi.

Alors un jour, j’ai dit stop. J’ai pris mes affaires, mon cœur en miettes, et j’ai franchi cette porte. Tu ne m’as pas vue partir, trop sûr de toi, trop aveugle dans ton arrogance. Mais c’était fini. J’étais brisée, oui, mais pas vaincue.

Depuis, chaque jour est un combat, une victoire sur l’ombre que tu as laissée en moi.

Je reconstruis, pièce par pièce, la femme que j’étais, la femme que je suis. Et je découvre une force que je ne me connaissais pas, un feu que tu n’as pas su éteindre.

Tu disais m’aimer, mais c’était un mensonge. Aujourd’hui, je m’aime, moi. Et c’est la plus belle victoire. J’ai appris à reconnaître le vrai amour, celui qui élève, qui respecte, qui ne détruit pas. Tu fais partie de mon passé, un chapitre sombre que j’ai fermé. Devant moi, il y a la vie, il y a l’espoir, et cette fois, c’est moi qui écris mon histoire.

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