Comment oublier la personne que l’on aime ? Comment t’oublier, toi, mon évidence ?
Par Audrey
J’ai tout essayé, enfin je crois. Prendre de la distance, faire la liste de tes défauts, tenter de te détester. Mais rien n’y fait.
A chaque fois que j’ai l’impression d’arriver à prendre du recul, un souvenir, un rêve, une situation, peu importe, mais quelque chose me ramène à toi, à nous. Et surtout, mes émotions, mes sentiments ne demandent qu’à se réveiller, à exploser à nouveau. Pour la distance, c’est donc un échec.
Te détester ? On dit que de l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas. Dans mon cas je t’aime encore bien trop pour pouvoir imaginer te haïr un jour. En effet, même si j’ai fait la liste de tes défauts, même si je ne supporte pas ta lâcheté par moments, tes peurs, ton refus de prendre des risques, même si à cause de toi je suis à la fois blasée, déçue, triste et parfois en colère, te détester est impossible. Cela reviendrait pour moi à renier ce que je ressens, ce qu’on a partagé, ce lien si particulier.
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J’ai essayé…
Alors il faut me résoudre à trouver un autre moyen pour t’oublier, pour me convaincre que tu n’es pas l’homme de ma vie même si tout me laissait penser que j’avais enfin trouvé mon évidence. Mon alter ego, mon âme sœur. Celui qui sait me rassurer, me soutenir, me faire rire, m’écouter, me conseiller mais aussi se confier, exprimer son amour, pour qui j’ai autant de désir que de tendresse, qui me connait si bien que cette complicité est en fait devenue une familiarité. On est connectés, même si tu te l’interdis, même si on lutte pour s’oublier, l’évidence demeure.
Tu es le seul homme à qui j’ai pu donner ma confiance, qui connait ma force et ma vulnérabilité. Tu es le seul aujourd’hui à me connaître sans fard, sans carapace, avec mes failles, mes défauts, mes angoisses, mes travers, mes obsessions. Avec toi je pouvais être totalement moi, naturelle sans avoir à refréner ma spontanéité et modérer mon impatience.
Depuis des mois…
Alors t’oublier, oui j’ai essayé… Depuis des mois j’alterne les jours où je résiste à t’appeler au secours avec ceux où c’est plus fort que moi, j’ai besoin de me dire que le contact n’est pas rompu.
Je me sens ridicule, tristement pathétique mais je suis incapable de couper notre lien, incapable de tourner la page, pas encore.
Les jours où je me fais violence, je me dis que la solitude est la meilleure solution, qu’il faut laisser le temps faire son œuvre, qu’un chagrin d’amour n’est pas plaie mortelle et que petit à petit mon cœur saignera moins. Un jour j’arriverai à mieux respirer, à me sentir plus légère, à ne plus avoir ce pincement au cœur en pensant à toi. Un jour…
J’ai essayé, sans y croire vraiment, par dépit, de m’intéresser à la gente masculine, tenté de me laisser séduire par une rencontre, peut-être une autre histoire. Mais comme je le pensais, comme je l’ai déjà écrit, je suis sentimentalement indisponible. J’ai l’impression de le répéter malgré moi, je ne suis pas prête tout simplement, l’envie n’est pas là, je n’ai pas cette curiosité, je suis fatiguée à l’avance à l’idée de me dévoiler à un autre, ça ne me semble pas naturel, pas comme avec toi…
J’ai toujours cet espoir au fond de moi
J’ai toujours cet espoir au fond de moi, cette sensation que c’est toi, l’homme de ma nouvelle vie, je n’arrive pas à m’en défaire. Et pourtant il va falloir me faire une raison, faire le deuil de notre histoire, taire mes sentiments, ne plus me projeter dans un avenir commun qui n’existera pas.
Aujourd’hui tu sembles avoir pris de l’avance sur moi, tu es retourné à ta vie. Sans moi. Tes habitudes, tes obligations. Je sais que tu ne m’as pas totalement oubliée mais tout doucement tu me rayes de ta vie.
– Par sécurité, par résignation, par dépit ? Ou tout simplement par manque de sentiments ? N’étais-je pour toi qu’une parenthèse au final malgré tout ce que tu m’as avoué ?
– Ce lien, qui ne tient plus qu’à un fil, te sens-tu obligé de le maintenir pour ne pas me blesser davantage ou pour ne pas porter le poids de ta culpabilité ? Est-ce de la compassion tout simplement ?
– As-tu envie de couper ce lien, de refermer la parenthèse de notre histoire ? Si c’est le cas, alors ose ! Il n’y a rien de plus douloureux après la désillusion que de laisser à l’autre un espoir même infime quand on sait que c’est vain.
Je ne dois pas t’attendre
Je ne dois pas t’attendre, je ne dois plus t’espérer, j’essaie de m’en convaincre. Mais tu dis que tu m’aimeras toujours, que je suis, quelque part, la femme de ta vie, alors comment faire pour faire semblant que cela n’a pas d’importance ? Comment fais-tu pour vivre avec cette vérité, cet amour enfoui ?
Je dois me résigner à t’oublier, mais comment fait-on pour oublier son évidence ?
– T’ai-je idéalisé ? Ai-je vu en toi mon sauveur, un homme de valeurs et de principes, mon prince pas charmant mais parfait pour moi alors que tu n’es rien de tout ça ?
– Ai-je confondu amour et affection, désir et tendresse, nous sommes-nous simplement apportés du réconfort, de l’attention ? Si ce n’était que cela, alors pourquoi ça fait si mal ? Pourquoi tu continues à te glisser dans mes pensées malgré moi, à prendre toute la place dans mon cœur, à demeurer le seul à susciter cet éveil des sens et des sentiments ?
Tu es devenu mon obsession
Tu es devenu mon obsession, je suis perdue face à l’intensité de mes sentiments pour toi.
Mais tu m’as appris quelque chose de précieux, en m’apprivoisant tu m’as aidée à m’aimer, à savoir enfin qui je suis vraiment. En dépit de cette blessure d’amour, je veux être en accord avec moi-même, me réaliser, m’épanouir enfin ; j’avance sur mon chemin de vie, j’ai enfin la sensation, bien que de nombreux obstacles me ralentissent, d’aller dans la bonne direction et de savoir enfin ce qui me définit et ce que je veux.
Cependant, il manque un élément essentiel à mon épanouissement. Le bonheur n’est pas la destination, il est à chaque étape du chemin, seulement si tu étais mon compagnon de route je pourrais dire que je touche enfin le bonheur du doigt…
a chaque mot écrit je verse une larme comme si c’était ma vie comme si on parlait de moi comme si j’étais seule et que je voulais écrire. Et c’est exactement ce que je voulais écrire mais je veux juste dire que la fin de cette histoire doit être autre que ça . Oui le premier amour est inoubliable et les blessures sont différentes. je suis au stade d’une blessure de 8 mois et 2 semaines j’ai trouvé une solution pour l’oublier je suis pas experte mais
1 ne partez pas la ou il part
2 pas de fréquentation
3 il est venu louer a coté de moi avec sa nouvelle copine quand je le vois je tourne la téte et si il y’as une voiture qui ressemble a sa voiture je tourne la tete
4 couper tous les ponts amis familles proche et ne parlez pas de cette rupture même si on te demande … ne raconte pas des choses sur lui ne cherche pas a savoir de ses news
5 jeter toute chose qui vous rappelle lui photo bijoux sac ……
6 ne pas cherche pas connaitre ses news il est avec une autre il fait quoi mnt il s’est remarié ou non…
NBBBBBBBBB IMMMMPPP
si ton cerveau essaye de te rappeler un moments bloque-le et passe a autre chose ! c ‘est dur mais c’est ce qu’on doit faire on est des soeurs on s’entraide
Mais n’importe quoi toi…
Même en faisant tout ça, tu ne l’oublieras jamais car tu l’aimes et tu sais que c’est lui et pas un autre !!!
Pauvre femme…